Sur le plancher des vaches
Lorsque les mots frappent à la porte à cinq heures du matin, je n’ose plus ouvrir. Mon dernier livre était si poche, plein d’anges en trop, d’esperluettes folles, d’aphorismes ratés mélangeant les melbas avec les pommes de route, de couacs dans la voix,...