Les fantômes
Aujourd’hui ma nuit est enroulée
Dans le temps d'avant
L’image du père absent
Qui ne venait pas souvent
Le visage de ma mère
Lorsqu’elle se penchait sur la vie
L’image du père absent
Qui ne venait pas souvent
Le visage de ma mère
Lorsqu’elle se penchait sur la vie
Dans le berceau
Dans le jardin
Le visage de ma mère emmurée
Assoiffée du moindre souvenir luisant
Aujourd’hui je n’ai que ma nuit
Mes songes et mes revenants
Le passé n’a pas besoin de moi
Ni des fantômes qui grattent à ma porte
En ce 31 décembre
Dans le jardin
Le visage de ma mère emmurée
Assoiffée du moindre souvenir luisant
Aujourd’hui je n’ai que ma nuit
Mes songes et mes revenants
Le passé n’a pas besoin de moi
Ni des fantômes qui grattent à ma porte
En ce 31 décembre