Aphorisme du jour
Comment peut-on avoir le coeur sur la main avec un doigt sur la gachette ?
les mots de la vie
Comment peut-on avoir le coeur sur la main avec un doigt sur la gachette ?
Le virage vert du gouvernement Charest n’est que de la poudre aux yeux pour plaire à ceux qui sont prêts à détruire tout le pays pour sauver une seule rivière. On sait maintenant que l’énergie éolienne n’est pas vraiment propre. (À moins que ce soit de...
Le nouveau numéro de la revue poétique de Les Voleurs de feu avec pour thème Vous avez dit violence? est en cours vous pouvez soumettre vos articles ici même ou par courrier: Yann Orveillon , 13 rue Louis Pasteur , 29630 Plougasnou Par ailleurs Les Voleurs...
Sache que je me porte à toi démaquillé tremblant ouvert jusqu’à l’âme offert à toi de l’intime à l’intime de l’infime à l’infini à chaque battement de cœur. Je tourne autour de toi comme le tournesol qui grimpe jusqu’à l’astre boire le lait des galax...
Jean Barbé n'oublie pas l'encre sur le feu. Il saisit le verbe sur la pierre brûlante, le retourne prudemment, inspecte ses ailes qui annoncent le rythme, la cadence d'une prochaine douleur. Les mots sont là, ils trépignent d'impatience : qu'on les sorte...
S’il faut aller partout où l’on n’est pas à l’aise, il faut en revenir, non pas compétitifs, mais meilleurs, dans le sens de la bonté. Il faut prêter l’oreille aux murmures du vent avant qu’il ne devienne une machine à sous. J’ai cessé de courir après...
Je pleure comme une montagne quand un caillou se meurt. Il fallait le lancer au milieu du ruisseau avec les poissons rouges et les algues muettes. Il est mort sans connaître les frissons de l’eau fraîche. Quand les cigales chantent l’enterrement d’une...
J’embrasse en toi ce qui nous survivra. L’amour ne peut être qu’absolu et l’absolu ne connaît pas le temps. J’arrache mes caresses pour t’en faire un manteau. Tu danses dans ma tête comme une pluie d’été. Quand tu regardes un arbre, toutes ses feuilles...