Aphorisme du jour
Des grands livres, il ne reste souvent que quelques mots. Quelques mots font un grand livre.
les mots de la vie
Des grands livres, il ne reste souvent que quelques mots. Quelques mots font un grand livre.
Chemins de Plume, petite et vaillante maison d’édition, toujours à l’affût de talents nouveaux ou confirmés, nous propose Bleu miel, un recueil de textes poétiques d’Ile Eniger. Ile Eniger : Bleu miel Editions Chemins de Plume, EAN : 9782849540527, 12...
La vie se mord elle-même pour ne pas mourir de faim. La pluie laisse des cicatrices sur la peau de la terre, des rigoles têtues. Nous avançons sur une immense vague que nous ne voyons pas. Seul notre va-et-vient laisse deviner la rive. Les feuilles ne...
à Adonis … dans Beyrouth se lézarde un soleil langagier les mots agenouillés n’ont de sens que la cendre des enfants vagabonds chorégraphient la guerre en marelles plus cruelles que de vraies mises à mort une femme me demande de quelle lignée je suis...
Il ne faut pas choisir entre avoir et paraître. Il faut conjuguer l’être au verbe aimer.
Nos solitudes d’enfant nous ont donné les immensités primitives. Ainsi toujours en nous, comme un feu oublié, une enfance peut reprendre. Gaston Bachelard
La vie se mord elle-même pour ne pas mourir de faim. La pluie laisse des cicatrices sur la peau de la terre, des rigoles têtues. Nous avançons sur une immense vague que nous ne voyons pas. Seul notre va-et-vient laisse deviner la rive. Les feuilles ne...
Tu parcours des milliers et des milliers de kilomètres dans ta chambre, sans atteindre ton but. C’est ça l’aventure, les points de suspension après le verbe… Ta mère te l’avait dit, que tu ne serais jamais rassasié. Il lui fallait te dérober son sein...
L’amour de prisunic veut-il qu’on l’arraisonne ? veut-il qu’on se passionne pour ses «love» en plastique ? L’amour de prisunic ne sait pas ce qu’il cherche. Il a très peur le soir d’avoir un cœur en kit. L’amour de prisunic oublie son œil rapace, laisse...
Les mots se cachent dans l'herbe sale escaladent les feuilles abîmées du monde qui n'a pas de nom les mots vivent au bord des grouillances dans l'humide et le ridicule ils rampent pour avancer tout contre l'ombre Thomas Vinau