Salut Jean-Paul
Le poète et romancier Jean-Paul Filion est décédé le 27 décembre 2010. Je lui ai consacré un article il y a quelques années. À lire À écouter
les mots de la vie
Le poète et romancier Jean-Paul Filion est décédé le 27 décembre 2010. Je lui ai consacré un article il y a quelques années. À lire À écouter
Tout le monde connaît ces poètes qui vous entassent, pendant des années, des milliers de vers qui tous ont la larme à l’œil. Bon, mais essayez de leur emprunter cent sous, essayez pour voir. La «faculté poétique» et la «faculté religieuse» se ressemblent...
Au sommaire : Collages de Cathy Garcia Nicolas Brulebois Jean-Marc Couvé Anna de Sandre Éric Dejaeger Patrick Frégonara Antoine Geniaut Isabelle Jarlin Roger Lahu Pierre Mainguet Carmelo Marchetta Murièle Modély Jany Pineau Thierry Roquet Salvatore Sanfilippo...
D ans les oreilles de l’homme qui a faim, le bruit d’une fourchette déchire les tympans. Un grain de riz dans sa tête a le poids d’une montagne. Dans l’homme aveugle aux autres hommes, le néant prend les yeux de la haine. Pour l’homme qui va vite, plus...
Peut-on vraiment aimer les poètes qui s’ils savent comment l’esprit vient aux mots n’en ont pas un seul pour condamner ce monde où l’on joue au ballon avec des têtes d’enfants ? Jean Rousselot
28 décembre 2010 19 heures À tous ceux et celles qui ont l’hiver tatoué dans l’cerveau et la panse farcie d’bines... Cessez d’varnousser dans les enfers populaires que sont les centres d’achats et les magasins à rayons pour joindre les rangs de la résistance...
E n nous, mon amour, nous sommes toujours ensemble. Partout, mon amour, nous continuons ensemble. Nous sommes un et nous vivons de la vie l’un de l’autre. Le tiret de l’amour épouse nos deux corps. Lorsque les arbres se déshabillent, les bêtes et les...
Au terrain vague des Tsiganes où papillonne l'enfant nu, aux marches froides des ghettos, aux usines où l'on enchaîne hommes et femmes pour la soupe, aux fonds des prisons politiques, à la caserne " troisième âge " où l'on exile le vieillard, aux cris...
La femme est l’avenir de l’homme. Certes, mais en attendant, on fait quoi ? Bruno Aimetti
Si le froid de l'aube te poignarde dans le dos si le soir est un manteau trop lourd pour tes épaules si les paroles alentour ne sont que du bruit au milieu du bruit si tes yeux prennent feu sous les loupes de tes larmes si des visages sans nom traversent...